La perte des surfaces arborées, principalement dans les tropiques, a atteint 294 000 km² en 2017 soit l'équivalent d'un hectare de forêt perdu chaque seconde." |
"Déforestation - Hectares de forêt détruits dans le monde" sur https://www.planetoscope.com/
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Un jour d'été 1997, Éden et Ayoub, deux amis d'enfance, se promenaient dans la forêt du Bourg Palette à côté de leur village, en Auvergne. Éden était un homme plutôt grand, il avait la trentaine, il avait des cheveux bruns, il était assez musclé, et aimait les sports de combat. Ayoub, lui, était de taille moyenne, il avait le même âge qu’Éden, il était blond aux yeux bleus et aimait les sports extrêmes. A un moment, ils entendirent un bruit, donc ils décidèrent de quitter le chemin. Après quelques secondes, Ayoub vit une silhouette au loin qui semblait les observer. Ils décidèrent de la suivre mais celle-ci prit la fuite. Après deux minutes de course-poursuite, ils la perdirent de vue. La nuit commençait déjà à tomber et ils étaient perdus. Ils s'aventurèrent dans la forêt jusqu'à tomber sur un assez gros bâtiment, une sorte d'usine. Cette construction était comme abandonnée depuis déjà un certain temps. Les murs étaient craquelés et couverts de mousse, des branches d'arbres traversaient les vitres. Il faisait déjà presque nuit noire, ils essayèrent donc d'entrer pour passer la nuit dans l'usine. Enfin, ils tombèrent sur la porte, mais celle-ci ne s'ouvrait pas. Il fallait passer par une fenêtre pour entrer dans le bâtiment. Ils s'aidèrent de lianes et de bouts de bois pour fabriquer une sorte de corde. Ils la lancèrent et réussirent à accrocher leur corde a une branche proche de la vitre visée. Ils grimpèrent à la corde et entrèrent dans l'usine. Ayoub avait une lampe-torche sur lui, il aimait se balader la nuit dans la forêt donc il en avait toujours une sur lui, il l'alluma et les deux compagnons commencèrent à visiter. Ils arrivèrent dans une énorme pièce remplie de machines et de troncs d'arbres, ils étaient sûrement dans une scierie ou dans une usine de meubles. Ils entrèrent dans une petite pièce à côté qui semblait être une salle de repos. Il y avait des canapés, des tables, des chaises, des meubles…Ils prirent la décision de passer la nuit-là.
Ils se réveillèrent aux alentours de sept heures, un petit animal avait dû faire tomber quelque chose par terre. Ils marchèrent jusqu'à l'endroit par lequel ils étaient entrés. Mais un détail leur avait échappé, ils avaient oublié de prendre une corde pour ressortir de l'usine. Ils explorèrent donc la construction pour essayer de trouver une sortie. En cherchant, ils tombèrent sur une pièce, un bureau sans doute. Assis sur la chaise devant le bureau, il y avait un humain, ou plutôt un squelette d'humain. Sur le meuble était étalé un plan de la forêt avec une zone rouge sur une grande partie du bois qui représentait une future déforestation. En regardant bien, ils virent quelque chose en- dessous du bureau. Ils le déplacèrent, et en dessous, une trappe. Ils l'ouvrirent et ils virent un passage creusé avec une échelle qui permettait de descendre. Ils descendirent et marchèrent vers l'autre bout du tunnel. A l'opposé, une autre échelle. Ils montèrent, ouvrirent la trappe et ils étaient dans la nature. Ils décidèrent de marcher dans une direction, et deux minutes plus tard, ils se retrouvèrent sur leur chemin. Ils s'empressèrent de rentrer chez eux pour manger quelque chose.
Quelques jours plus tard, un homme nommé François se rendit à la mairie du village. Il avait à peu près la cinquantaine des yeux brun et des cheveux grisonnants. Il avait des lunettes et était assez bien habillé, chemise, cravate... Il avait pour but de racheter l'usine et la forêt, et même si le prix devait être très élevé. Il demanda à l’accueil si le maire était disponible. On lui dit de patienter un peu et qu'il pourrait s'entretenir avec lui dans son bureau. Après une dizaine de minutes, il entra dans la salle. Il expliqua ses projets au maire qui semblait ne pas être enchanté par les intentions de François. Après une longue heure de conversation et de négociation, le maire accepta de lui vendre la forêt et l'usine à 500 000€. Il y avait tout de même une condition qui était de ne pas détruire plus de 15% de la forêt avec son business. Les deux hommes signèrent les documents et François s'en alla. Mais le maire ne se rendit pas compte que son acheteur lui avait pris le contrat visant la condition à respecter. Une fois chez lui, François prit un briquet et mit le feu à cette fiche. Et désormais, il pouvait commencer la rénovation de son usine.
Quelques mois plus tard, la rénovation de l'usine fut terminée et elle entra en activité. Il y avait environ 2000 employés dans l'usine. Au bout de plusieurs semaines, des rumeurs coururent dans le village selon lesquelles l'usine commençait à détruire une bonne partie de la forêt. Toute cette histoire commençait à préoccuper Éden et Ayoub. Sachant que la forêt faisait partie du patrimoine du village, ils décidèrent d'en parler au maire pour savoir s'il pouvait faire quelque chose pour remédier au problème de la déforestation. Celui-ci leur répondit que non car le propriétaire avait racheté les terres. Il leur dit aussi de voir ça du bon côté et que François n'avait pas le droit de détruire plus de 15% de la forêt. Monsieur le maire voulait leur montrer le contrat mais il ne le trouva pas, il ne l'avait plus.
Ils décidèrent donc de faire tourner une pétition dans le village et d'en poser une à la mairie et dans la salle de spectacle pour les récupérer dans les semaines suivantes. A leur grande surprise, presque aucun villageois n'avait signé la pétition et les habitants trouvaient même que cette usine était une très bonne idée. Désespérés, ils décidèrent de retourner à l'usine pour voir si le propriétaire était d'accord pour réduire sa production de quelques pour cent pour essayer de faire repousser quelques arbres. Après trente minutes de marche dans la forêt ils arrivèrent devant le bâtiment. Ils entrèrent cette fois-ci par la porte principale et cherchèrent le bureau du patron. Ils arrivèrent devant le bureau et entrèrent. A leur grande joie, ce dernier avait l'air plutôt sympa à première vue. François les accueillit avec une grande gentillesse. A l'aise mais tout de même embarrassés, ils lui demandèrent s'il était possible de réduire sa production ou de trouver des solutions pour la sauvegarde de la forêt comme replanter un arbre à chaque fois qu'un autre était abattu. François leur répondit que ce n'était pas possible car cela coûterait de l'argent et qu'il devrait baisser le salaire de ses employés qui ne seraient pas contents. Les deux amis insistèrent mais François les mit dehors. Ils rentrèrent donc chez eux la tête baissée et le moral dans les chaussettes. Quelques jours après, la moitié de la forêt avait déjà été détruite, pour eux ce n'était pas tolérable. Ils commencèrent donc à chercher des moyens un peu plus radicaux.
Alors qu'il se baladaient dans la rue, comme à leur habitude, la discussion d'un groupe de personnes les interpella, ces personnes disaient avoir vu une sorcière dans les profondeurs de la forêt. Ils commencèrent donc à chercher l'existence d'une sorcière dans les anciens livres à la bibliothèque du village. Ils trouvèrent une carte, sûrement dessinée par un ancien trappeur. Sur cette carte il y avait un endroit assez bizarre une sorte de maisonnette au milieu de la forêt. Cette maison était presque effacée de la carte comme si quelqu'un ne voulait pas qu'on la voie. Cela voudrait donc dire que cette fameuse sorcière existait vraiment. Le seul problème était que se rendre dans cette demeure était très compliqué et ne facilitait pas la tâche. Fort heureusement, ils connaissaient la forêt comme leur poche. Ils décidèrent qu'ils partiraient dès le lendemain pour demander à la sorcière si elle pouvait les aider. Pour cela ils décidèrent d'aller acheter une corde et du matériel qui pourrait leur être utile au cours de leur expédition.
Ils se donnèrent rendez-vous à 6 h du matin, à la sortie du village, au bout de longues heures de marche dans la forêt, ils décidèrent de manger. Les deux compagnons avaient préparé un pique-nique. En montant sur un arbre Éden vit au loin une cabane et une silhouette à côté. Une fois leur repas fini ils se précipitèrent à la cabane en supposant que c'était celle de la sorcière. En effet ils avaient réussi à trouver cette dernière, la sorcière accepta de leur parler et leur promit de ne pas leur faire de mal. Malgré les promesses de la vieille dame Éden et Ayoub étaient sur leurs gardes prêts à fuir. Ils entrèrent dans sa maison et ils lui demandèrent si elle pouvait les aider. Elle accepta sans aucune hésitation et leur dit qu'elle ferait tout pour supprimer cette maudite usine qui détruisait la forêt car l'usine l'embêtait aussi. Non seulement elle détruisait les arbres mais elle détruisait aussi la biodiversité qui l'aidait à faire ses potions.
Éden, Ayoub et la sorcière préparèrent donc un plan pour attaquer l'usine. La sorcière commença à faire des incantations pour réveiller l'esprit diabolique de la forêt.
Suite à cela la terre trembla et l'esprit de la forêt éveilla les arbres, les pierres. Tous les éléments de la forêt suivirent Ayoub et Éden. Une fois devant l'usine Ayoub et Éden dirent aux éléments de la forêt de se cacher autour de l'usine. Ensuite ils rentrèrent dans l'usine et ordonnèrent à François d'arrêter ses activités. Ils lui promirent que s'il décidait de partir sans faire d'histoire ils ne lui feraient aucun mal. Ce dernier refusa et se moqua d'eux. Les deux amis dirent aux éléments de détruire l'usine. François voyant cela essaya de les arrêter. Il sortit un pistolet de son bureau et tira sur les pierres et les arbres. A un moment, un arbre tomba sur une machine et la fit exploser, Ayoub et Éden s’enfuirent de l'usine mais François qui était à côté de la machine mourut dans l'explosion. Une demi-heure après, le terrain était totalement rasé. Les esprits de la forêt s'évaporèrent et les deux compagnons rentrèrent chez eux. Ils avaient accompli leur objectif.
Ils se réveillèrent aux alentours de sept heures, un petit animal avait dû faire tomber quelque chose par terre. Ils marchèrent jusqu'à l'endroit par lequel ils étaient entrés. Mais un détail leur avait échappé, ils avaient oublié de prendre une corde pour ressortir de l'usine. Ils explorèrent donc la construction pour essayer de trouver une sortie. En cherchant, ils tombèrent sur une pièce, un bureau sans doute. Assis sur la chaise devant le bureau, il y avait un humain, ou plutôt un squelette d'humain. Sur le meuble était étalé un plan de la forêt avec une zone rouge sur une grande partie du bois qui représentait une future déforestation. En regardant bien, ils virent quelque chose en- dessous du bureau. Ils le déplacèrent, et en dessous, une trappe. Ils l'ouvrirent et ils virent un passage creusé avec une échelle qui permettait de descendre. Ils descendirent et marchèrent vers l'autre bout du tunnel. A l'opposé, une autre échelle. Ils montèrent, ouvrirent la trappe et ils étaient dans la nature. Ils décidèrent de marcher dans une direction, et deux minutes plus tard, ils se retrouvèrent sur leur chemin. Ils s'empressèrent de rentrer chez eux pour manger quelque chose.
Quelques jours plus tard, un homme nommé François se rendit à la mairie du village. Il avait à peu près la cinquantaine des yeux brun et des cheveux grisonnants. Il avait des lunettes et était assez bien habillé, chemise, cravate... Il avait pour but de racheter l'usine et la forêt, et même si le prix devait être très élevé. Il demanda à l’accueil si le maire était disponible. On lui dit de patienter un peu et qu'il pourrait s'entretenir avec lui dans son bureau. Après une dizaine de minutes, il entra dans la salle. Il expliqua ses projets au maire qui semblait ne pas être enchanté par les intentions de François. Après une longue heure de conversation et de négociation, le maire accepta de lui vendre la forêt et l'usine à 500 000€. Il y avait tout de même une condition qui était de ne pas détruire plus de 15% de la forêt avec son business. Les deux hommes signèrent les documents et François s'en alla. Mais le maire ne se rendit pas compte que son acheteur lui avait pris le contrat visant la condition à respecter. Une fois chez lui, François prit un briquet et mit le feu à cette fiche. Et désormais, il pouvait commencer la rénovation de son usine.
Quelques mois plus tard, la rénovation de l'usine fut terminée et elle entra en activité. Il y avait environ 2000 employés dans l'usine. Au bout de plusieurs semaines, des rumeurs coururent dans le village selon lesquelles l'usine commençait à détruire une bonne partie de la forêt. Toute cette histoire commençait à préoccuper Éden et Ayoub. Sachant que la forêt faisait partie du patrimoine du village, ils décidèrent d'en parler au maire pour savoir s'il pouvait faire quelque chose pour remédier au problème de la déforestation. Celui-ci leur répondit que non car le propriétaire avait racheté les terres. Il leur dit aussi de voir ça du bon côté et que François n'avait pas le droit de détruire plus de 15% de la forêt. Monsieur le maire voulait leur montrer le contrat mais il ne le trouva pas, il ne l'avait plus.
Ils décidèrent donc de faire tourner une pétition dans le village et d'en poser une à la mairie et dans la salle de spectacle pour les récupérer dans les semaines suivantes. A leur grande surprise, presque aucun villageois n'avait signé la pétition et les habitants trouvaient même que cette usine était une très bonne idée. Désespérés, ils décidèrent de retourner à l'usine pour voir si le propriétaire était d'accord pour réduire sa production de quelques pour cent pour essayer de faire repousser quelques arbres. Après trente minutes de marche dans la forêt ils arrivèrent devant le bâtiment. Ils entrèrent cette fois-ci par la porte principale et cherchèrent le bureau du patron. Ils arrivèrent devant le bureau et entrèrent. A leur grande joie, ce dernier avait l'air plutôt sympa à première vue. François les accueillit avec une grande gentillesse. A l'aise mais tout de même embarrassés, ils lui demandèrent s'il était possible de réduire sa production ou de trouver des solutions pour la sauvegarde de la forêt comme replanter un arbre à chaque fois qu'un autre était abattu. François leur répondit que ce n'était pas possible car cela coûterait de l'argent et qu'il devrait baisser le salaire de ses employés qui ne seraient pas contents. Les deux amis insistèrent mais François les mit dehors. Ils rentrèrent donc chez eux la tête baissée et le moral dans les chaussettes. Quelques jours après, la moitié de la forêt avait déjà été détruite, pour eux ce n'était pas tolérable. Ils commencèrent donc à chercher des moyens un peu plus radicaux.
Alors qu'il se baladaient dans la rue, comme à leur habitude, la discussion d'un groupe de personnes les interpella, ces personnes disaient avoir vu une sorcière dans les profondeurs de la forêt. Ils commencèrent donc à chercher l'existence d'une sorcière dans les anciens livres à la bibliothèque du village. Ils trouvèrent une carte, sûrement dessinée par un ancien trappeur. Sur cette carte il y avait un endroit assez bizarre une sorte de maisonnette au milieu de la forêt. Cette maison était presque effacée de la carte comme si quelqu'un ne voulait pas qu'on la voie. Cela voudrait donc dire que cette fameuse sorcière existait vraiment. Le seul problème était que se rendre dans cette demeure était très compliqué et ne facilitait pas la tâche. Fort heureusement, ils connaissaient la forêt comme leur poche. Ils décidèrent qu'ils partiraient dès le lendemain pour demander à la sorcière si elle pouvait les aider. Pour cela ils décidèrent d'aller acheter une corde et du matériel qui pourrait leur être utile au cours de leur expédition.
Ils se donnèrent rendez-vous à 6 h du matin, à la sortie du village, au bout de longues heures de marche dans la forêt, ils décidèrent de manger. Les deux compagnons avaient préparé un pique-nique. En montant sur un arbre Éden vit au loin une cabane et une silhouette à côté. Une fois leur repas fini ils se précipitèrent à la cabane en supposant que c'était celle de la sorcière. En effet ils avaient réussi à trouver cette dernière, la sorcière accepta de leur parler et leur promit de ne pas leur faire de mal. Malgré les promesses de la vieille dame Éden et Ayoub étaient sur leurs gardes prêts à fuir. Ils entrèrent dans sa maison et ils lui demandèrent si elle pouvait les aider. Elle accepta sans aucune hésitation et leur dit qu'elle ferait tout pour supprimer cette maudite usine qui détruisait la forêt car l'usine l'embêtait aussi. Non seulement elle détruisait les arbres mais elle détruisait aussi la biodiversité qui l'aidait à faire ses potions.
Éden, Ayoub et la sorcière préparèrent donc un plan pour attaquer l'usine. La sorcière commença à faire des incantations pour réveiller l'esprit diabolique de la forêt.
Suite à cela la terre trembla et l'esprit de la forêt éveilla les arbres, les pierres. Tous les éléments de la forêt suivirent Ayoub et Éden. Une fois devant l'usine Ayoub et Éden dirent aux éléments de la forêt de se cacher autour de l'usine. Ensuite ils rentrèrent dans l'usine et ordonnèrent à François d'arrêter ses activités. Ils lui promirent que s'il décidait de partir sans faire d'histoire ils ne lui feraient aucun mal. Ce dernier refusa et se moqua d'eux. Les deux amis dirent aux éléments de détruire l'usine. François voyant cela essaya de les arrêter. Il sortit un pistolet de son bureau et tira sur les pierres et les arbres. A un moment, un arbre tomba sur une machine et la fit exploser, Ayoub et Éden s’enfuirent de l'usine mais François qui était à côté de la machine mourut dans l'explosion. Une demi-heure après, le terrain était totalement rasé. Les esprits de la forêt s'évaporèrent et les deux compagnons rentrèrent chez eux. Ils avaient accompli leur objectif.
le_noah1 et YanisLaRéglice